Titre : |
Lectures lentes : linguistique et critique littéraire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre-Alain Cahné |
Editeur : |
Paris : PUF |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
152 p |
Format : |
21,6 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-056985-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
LE CONCEPT DE FORME ET CELUI DE SIGNIFIE DE PUISSANCE - LE PROLONGEMENT DE LA TRADITION RHETORIQUE - DE LA LANGUE AU STYLE - LA FONCTION POETIQUE ET LA POLYSEMIE - SEMANTIQUE STRUCTURALE LA LEXICOLOGIE - LE CONCEPT DE VARIANTE - LA PHILOSOPHIE ANALYTIQU |
Index. décimale : |
801 |
Résumé : |
A partir de quel moment la critique littéraire a-t-elle frayé avec la linguistique ? On pourrait, si l’on accepte de voir les choses de manière approximative, répondre à cette question en évoquant Ferdinand de Saussure lui-même : « il semble n’y avoir aucune raison valable pour séparer les questions de littérature des questions de linguistique en général ». Chaque moment historique a donné à la critique un « outillage » herméneutique différent. Flaubert résume parfaitement la situation en émettant un voeu que les essais ici rassemblés ne sauraient combler : « Du temps de La Harpe, on était grammairien ; du temps de Sainte-Beuve et de Taine, on est historien. Quand sera-t-on artiste, rien qu’artiste, mais bien artiste ? Où connaissez-vous une critique qui s’inquiète de l’oeuvre en soi, d’une façon intense ? On analyse très finement le milieu où elle s’est produite et les causes qui l’ont amenée ; mais la poétique insciente ? d’où elle résulte ? sa composition, son style ? » |
Lectures lentes : linguistique et critique littéraire [texte imprimé] / Pierre-Alain Cahné . - Paris : PUF, 2011 . - 152 p ; 21,6 cm. ISBN : 978-2-13-056985-5 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
LE CONCEPT DE FORME ET CELUI DE SIGNIFIE DE PUISSANCE - LE PROLONGEMENT DE LA TRADITION RHETORIQUE - DE LA LANGUE AU STYLE - LA FONCTION POETIQUE ET LA POLYSEMIE - SEMANTIQUE STRUCTURALE LA LEXICOLOGIE - LE CONCEPT DE VARIANTE - LA PHILOSOPHIE ANALYTIQU |
Index. décimale : |
801 |
Résumé : |
A partir de quel moment la critique littéraire a-t-elle frayé avec la linguistique ? On pourrait, si l’on accepte de voir les choses de manière approximative, répondre à cette question en évoquant Ferdinand de Saussure lui-même : « il semble n’y avoir aucune raison valable pour séparer les questions de littérature des questions de linguistique en général ». Chaque moment historique a donné à la critique un « outillage » herméneutique différent. Flaubert résume parfaitement la situation en émettant un voeu que les essais ici rassemblés ne sauraient combler : « Du temps de La Harpe, on était grammairien ; du temps de Sainte-Beuve et de Taine, on est historien. Quand sera-t-on artiste, rien qu’artiste, mais bien artiste ? Où connaissez-vous une critique qui s’inquiète de l’oeuvre en soi, d’une façon intense ? On analyse très finement le milieu où elle s’est produite et les causes qui l’ont amenée ; mais la poétique insciente ? d’où elle résulte ? sa composition, son style ? » |
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